Il déclare que les détenus étaient forcés de marcher nus et étaient soumis à des mauvais traitements, notamment qu'ils recevaient régulièrement des coups de bâton.
Il déclare que les détenus étaient forcés de marcher nus et étaient soumis à des mauvais traitements, notamment qu'ils étaient régulièrement frappés à coups de matraque.
Bien qu'en général les fréquentes protestations publiques à Rabat se déroulent sans encombre, il arrive qu'elles soient dispersées avec brutalité par des policiers munis de matraques.
Une patrouille de la KFOR a observé un groupe d'une trentaine d'Albanais du Kosovo, armés de bâtons et de haches, qui s'avançaient en direction de cette foule.
Si elles ne parviennent pas à prouver qu'elles ont été violées en étant contraintes d'avoir des relations sexuelles, elles, les victimes, peuvent être flagellées pour fornication ou adultère.
Selon les rapports médicaux, le jeune homme a été matraqué à mort et ne présentait aucune blessure par balle, contrairement à la version présentée par les forces d'occupation israéliennes.
D'ailleurs, on retrouve un motif semblable dans le monde des vivants avec le roi abattant ses ennemis d'un coup de massue ou de hache après une bataille.
Gouverneur débonnaire, uniquement préoccupé de subvenir avec ses maigres ressources à l'entretien de deux policiers armés de bâtons, Don Apolinar Mascote, en fait d'autorité, n'était qu'une potiche.
Pendant trois jours, de jeunes extrémistes bouddhistes armés de bâtons et de couteaux - et parfois aidés de moines - ont brûlé les commerces et saccagé les mosquées.