(Ha'aretz, Jerusalem Post, 16 juillet) Le 16 juillet, des chars des FDI ont tiré sur les bureaux du Service de renseignements généraux palestinien à Djénine.
Les Forces de défense israéliennes (FDI) ont intensifié leurs actions militaires, multipliant les exécutions extrajudiciaires et les tirs de missiles et d'artillerie sur des cibles palestiniennes.
Il constitue une réaction face aux conventions artistiques de la Haute Renaissance, réaction amorcée par le sac de Rome (Charles Quint en 1527) qui ébranla l'idéal humaniste de la Renaissance.
Des résidents de Rafah ont déclaré que les chars avaient ouvert le feu sur les Palestiniens sur la route, en direction de Khan Younis, obligeant les conducteurs à faire demi-tour.
Par ailleurs, les forces d'occupation israéliennes ont tiré aujourd'hui des obus de char sur un point de contrôle palestinien près d'Al-Khalil (Hébron), tuant un Palestinien et en blessant cinq autres.
L'assaut a duré six heures pendant lesquelles les chars ont bombardé les bureaux du Président et les forces d'occupation israéliennes ont détruit au moins trois bâtiments à l'intérieur de l'enceinte présidentielle.
Les occupants des chars israéliens ont même ouvert le feu sur un hôtel de Ramallah où logeaient au moins 40 journalistes étrangers rendant compte de l'attaque menée contre le camp d'Amari.
Sur un signe de Cyrus Smith, le coup partit. Le boulet, dirigé sur la mer, passa au-dessus de l’îlot et alla se perdre au large, à une distance qu’on ne put d’ailleurs apprécier avec exactitude.
Çà et là, par intervalles, quand le vent donnait, on entendait confusément des cris, une rumeur, des espèces de râles tumultueux, qui étaient des fusillades, et des frappements sourds qui étaient des coups de canon.
À certains angles, il se faisait de rapides remous d’air, et la neige, s’y formant en hautes colonnes tournantes, ressemblait à ces trombes liquides qui pirouettent sur leur base, et que les bâtiments attaquent à coups de canon.