Il décrit comme suit les actes de torture qu'il a subis: on lui a rasé le crâne et versé de l'eau sur la tête et dans les narines; on lui a ensuite administré des décharges électriques et frappé à coups de bâton, de matraque et de longue baguette.
Mais sur le perron du portail s'étaient assis, jambes croisées, les porteurs de la litière, des malabars à moitié nus, avec des boucles d'oreilles en or et le crâne rasé sur lequel ils faisaient pousser une crête ou une queue-de-cheval.
Pour lui, c'est le même effet qui opère quand on rit d'un chapeau haut de forme, d'un chien à moitié tondu ou d'un look passé de mode, à savoir l'idée d'une « mascarade » , l'impression d'un « trucage mécanique de la vie. »