Comme l'indique le Secrétaire général dans son rapport, le trafic maritime mondial a continué d'augmenter et atteint actuellement 7 milliards 110 millions de tonnes de marchandises.
La croissance considérable du commerce maritime constitue un risque accru pour la diversité biologique des océans tant à l'intérieur qu'au-delà des juridictions nationales et une source croissante de préoccupation.
Pour concrétiser cette fonction des mers, la communauté internationale doit garantir la libre circulation des navires, des biens et des services afin de renforcer les échanges et le commerce maritimes.
On a fait valoir en faveur de l'insertion d'une disposition sur le retard que le respect des délais prenait de plus en plus d'importance en particulier dans le cabotage maritime.
Les trafics maritimes illicites de drogues, d'armes légères, de munitions et de personnes sont particulièrement préoccupants; de meilleures coopération et coordination entre les pays sont clairement nécessaires dans ce domaine.
Le commerce maritime s'effectue au moyen de navires de haute mer, de caboteurs et de dhows, qui mouillent dans les principaux ports encore opérationnels du pays : Bernera, Bosaso et Kismayo.
Cette lutte contre le terrorisme aux niveaux bilatéral et multilatéral a pour but de protéger les frontières maritimes, le commerce, les transferts de fonds et les transactions financières transfrontières des Philippines.
Il reste à espérer que les travaux consacrés au transport maritime de marchandises tiendront compte des projets analogues élaborés par des organes régionaux, comme la Commission économique pour l'Europe et l'Organisation des États américains.
Les États du port devraient mettre tout en œuvre pour ne pas entraver l'accès aux ports, respectant par là même la liberté du commerce maritime et la liberté de transit entre les ports, indépendamment du pavillon.
Au fil des années, un certain nombre de centres d'excellence ont vu le jour dans lesquels des spécialistes de questions techniques et juridiques spécifiques sont disponibles pour arbitrer des conflits dans le domaine du commerce maritime.
Ces tempêtes paralysent parfois totalement le commerce maritime, et même sans ça, il faut être excellent marin pour entreprendre la traversée par jour de mauvais temps.
Une situation qui pourrait perdurer avec une inflation attendue au plus haut, au début 2023, certains experts prévoient un nouveau recul des échanges maritimes.
Ypres, Gand, Douai subissent de plein fouet cette crise. Des nouvelles routes commerciales maritimes s’ouvrent grâce à quelques inventions majeures : la boussole ou le gouvernail d’étambot.
En effet, le pays est à l'époque l'un des plus riches du monde grâce à sa maîtrise du commerce maritime, à tel point qu'on qualifie souvent le XVIIe siècle hollandais de " siècle d'or" .
Mais même en restant chez soi, tout jeune Vénitien est éduqué par une tradition orale, récitant la géographie, les noms des ports, des routes commerciales, le savoir marin et les bases du commerce.