Des lignes de communication directes ont été établies entre les États-Unis et de nombreux pays afin de coordonner les moyens d'enquête à l'échelle mondiale.
La Commission a également analysé les communications et les parties présumées des engins explosifs improvisés et des véhicules ayant servi à perpétrer des attentats.
Avec l'appui du sous-programme Services d'information, le Programme a créé un système de bases de données pour l'enregistrement, la consultation et le suivi de la correspondance.
On s'efforce actuellement de développer les patrouilles conjointes aux frontières et d'améliorer les lignes de communication, notamment avec la Mission des Nations Unies au Libéria.
Des sanctions sont prévues tout particulièrement dans le domaine des transports et des communications et la Conférence des Parties peut prendre toute autre mesure politique et économique.
Des terminaux satellite mobiles pouvaient être acheminés par avion relativement facilement et être installés en peu de temps, afin de rétablir les indispensables communications avec le reste du monde.
On prévoit également de renforcer les dispositifs de liaison permanente avec les missions opérationnelles et de poursuivre la mise en place d'une cellule de crise dotée de moyens d'intervention rapide.
Il serait donc possible d'établir des communications en temps réel entre les chercheurs sur le terrain et les responsables de la gestion des enquêtes en poste en Europe ou en Afrique.