Nous ne pouvons penser sans effroi à ces pays où les fakirs, les bonzes, les santons, les caloyers, les marabouts, les talapoins et les derviches pullulent jusqu’au fourmillement vermineux.
Dans tous les cas, la vie quasi ascétique que menait joseph Grand l'avait finalement, en effet, délivré de tout souci de cet ordre. Il continuait de chercher ses mots.
Cette tornade qui se forme, puis s’enroule autour d’un derviche tourneur est un des moments les plus poétiques du spectacle. Le numérique ouvre les portes de l’imaginaire. Avec lui, tout devient possible.