En signant le décret d'expropriation juste avant la fin de l'année, le gouvernement de Dilma Rousseff tente de redorer son blason en matière de réforme agraire pour 2013.
Mais pour arriver à ce résultat, il a d’abord fallu réhabiliter le terrain. Lorsque cet endroit a été choisi pour accueillir l’Exposition en 2009, c’était encore une cuvette de 22 hectares remplie de détritus.
Il lui avait promis de l'envoyer terminer ses études à Bruxelles, selon une coutume établie du temps de la compagnie bananière, et cette illusion l'avait conduit à tenter de rendre vie aux terres dévastées par le déluge.