Évidemment, tout cela reste très théorique, et soumis à une incertaine unité politique, connue récemment, quand l'épidémie de Covid a frappé le continent.
Ils se composent d’une infinité d’amours successifs, de jalousies différentes et qui sont éphémères, mais par leur multitude ininterrompue donnent l’impression de la continuité, l’illusion de l’unité.
La première, c'est l'idée qu'on peut et même qu'on doit intervenir sur un bâtiment ou sur un site historique, pour lui redonner son unité et sa cohérence d'origine.
On essaie de trouver dans ces projets des unités de couleur entre les pièces pour agrandir la maison et toujours avec des couleurs pastel, assez chaudes même pour l'esprit contemporain.
Avec de nouvelles normes qui vont s'établir en réaction à la fin à l'accrochage en statistique qui va être jugé trop désuet et avec cette volonté d'accentuer l'unité d'impression.
L'unité d'un collectif, alors même que la réalité, de ce point de vue-là, il est nominaliste, il n'y a que des corps singuliers, et son nominalisme a aussi une version sociologique, il n'y a que des individus.