Et cette phrase désarmante qu'Elie Wiesel vient de prononcer résume tout : « Les meurtriers sont venus pour tuer, les victimes sont venues pour mourir ».
On pourrait peut-être, dans une certaine mesure, regretter qu'il s'agisse presque d'un film sans message, sans réflexion, qui montre simplement la vie telle quelle est.
La longueur du rapport n'est pas vraiment pertinente, mais n'ayons pas peur des mots et parlons d'une session d'organisation plutôt que d'une session de fond.
Je rends hommage au Secrétaire général qui s'est engagé à examiner de manière critique les résultats de l'ONU et notamment les rapports sur Srebrenica et le Rwanda.
La communauté internationale devrait réclamer plus énergiquement que de telles mesures soient rapportées et que le nécessaire soit fait pour empêcher que cela ne se reproduise.
Certains partis opposés au Gouvernement de transition et à l'Accord d'Arusha deviennent plus virulents quand des négociations de cessez-le-feu sont menées au niveau le plus élevé.
Le Secrétaire général y a répondu en élaborant un rapport dont le caractère novateur a été largement salué, tant pour son honnêteté que pour sa rigueur.
Je serai tout à fait direct: en gâchant une année supplémentaire après tant d'années de blocage et de retard, nous nous déroberions à notre responsabilité collective.
Je ne vous cache pas que j'hésite toujours à prendre la parole devant ce conseil dès lors qu'il s'agit de la question palestinienne sous n'importe lequel de ses aspects.