Ces dépenses supplémentaires résultaient de la nécessité d'accroître la production, les importations, les stocks, les activités de transport et les livraisons.
Les conteneurs de fret maritime font partie intégrante de la chaîne logistique commerciale internationale et leur volume s'accroît constamment tous les ans.
Le nombre des applications pour lesquelles le photovoltaïque est déjà « rentable » s'accroît régulièrement et représente environ 70 % des livraisons mondiales de modules.
Dans l'hypothèse où le taux d'accroissement serait de 25 %, les livraisons cumulatives mondiales passeraient de 1 000 MW, leur niveau actuel, à 85 GW environ.
De plus, les voies ferrées sont sous-utilisées : seuls cinq pays les moins avancés font état d'un trafic de fret supérieur à 400 000 kilomètres-tonnes.
Avec ses 9 300 kilomètres, le réseau ferroviaire égyptien a assuré environ 97 % du trafic passagers de la région et 52 % du transport des marchandises.
Les choses sont néanmoins rentrées dans l'ordre, même si le transport de marchandises par voie aérienne reste embryonnaire, en raison en particulier de son coût élevé.
Les PME sont aussi pénalisées dans leurs négociations avec les transporteurs aériens étrangers qui préfèrent traiter avec des acteurs plus importants travaillant avec des volumes supérieurs.
Dans le petit aéroport de Bergerac, à 120 kilomètres de Bordeaux, le trafic a été multiplié par 19 entre 2000 et 2017 grâce à l'arrivée de Ryanair et de Transavia.