Le mariage d'une Turkmène avec le ressortissant d'un autre État ou un apatride, de même que sa dissolution, n'entraînent aucun changement de nationalité.
Les changements visent surtout à élargir la gamme des possibilités à la disposition des conjoints et des juges qui prononcent la dissolution du mariage.
Pour être prorogées, il faut présenter dans ce délai une demande de séparation, de divorce, de nullité du mariage, de garde d'enfant ou de pension alimentaire.
Cette loi autorise désormais les femmes à décider de manière unilatérale de mettre un terme au contrat de mariage - prérogative dont seuls les hommes bénéficiaient jusqu'alors.
Les États parties doivent aussi veiller à ce que l'égalité soit respectée en ce qui concerne la dissolution du mariage, ce qui exclut la possibilité de répudiation.
Les États parties doivent aussi veiller à ce que l'égalité soit respectée en ce qui concerne la dissolution du mariage, ce qui exclut la possibilité de répudiation.
S'agissant de l'article 16, le Comité voudrait des renseignements plus complets sur les droits et obligations dans le mariage et au moment de la dissolution d'un mariage.
Le dernier de ces articles prévoit en outre la présomption que les enfants nés dans les 300 jours qui suivent la dissolution du mariage sont les enfants du conjoint.