Souleymane le réfugié, Mihai le routier et Roman le journaliste, trois visages de l'espérance, cet entêtement des hommes, deux d'entre eux vivent encore, nous disent les journaux.
Les questions des membres de l'A.D. qui l'abordaient sans cesse dans les couloirs, entre les classes, pour lui demander s'il y aurait une réunion ce soir-là, n'améliorèrent pas son humeur.
Et dans Mediapart vous le verrez aussi souriant dans un train, allant vers l'Italie plein d'espérance le 11 juin dernier, il ne savait pas qu'il allait vers la mort.