En outre, les petits pêcheurs sont dépourvus des infrastructures nécessaires à la manipulation et à la transformation, ce qui entraîne des pertes considérables pendant ces deux étapes.
Dans les zones où les vivres sont produits en quantité suffisante pour nourrir la population, c'est le climat général d'insécurité qui complique la commercialisation des récoltes, privant ainsi de revenus des populations qui en ont grand besoin.