Les camps de déplacés sont dépourvus d'installations sanitaires et une odeur pestilentielle d'ordures et d'excréments humains plane dans l'air, toutes conditions propices à la propagation de maladies.
Rien ne les préparait à ce dont ils allaient être témoins, en ce lieu et dans les autres camps qu'ils allaient libérer. La puanteur des corps, les piles de vêtements, de dents, de chaussures d'enfants.
Pour le conduire au tribunal, les policiers l'ont forcé à s'asseoir au milieu des cadavres en question, à l'arrière de son propre chariot et dans une puanteur atroce.
Il l’avait empoignée, il ne la lâchait pas. Elle s’abandonnait, étourdie par le léger vertige qui lui venait du tas de linge, sans dégoût pour l’haleine vineuse de Coupeau.
Oh ! de belles fusées, des queues de renard élargies au beau milieu du pavé, que les gens attardés et délicats étaient obligés d’enjamber, pour ne pas marcher dedans !