Humiliante également la mise en scène : ce matin, près de 150 personnes se sont réunies à la haute cour islamique pour assister à l'application des peines.
Condamnée à dix ans de réclusion pour le meurtre de son mari violent, elle reste en prison car le tribunal d'application des peines lui refuse sa demande de libération conditionnelle.
Dès qu'il sera saisi par Jacqueline Sauvage, le juge d'application des peines ne pourra en effet constater qu'une chose : toutes les conditions sont réunies pour accepter sa demande de remise en liberté conditionnelle.
Françoise : Et attention, ah, ah, parce que, ah, ah, j’espère bien que les Russes vont exécuter les arrêts parce qu’un arrêt de la Cour n’a de sens que s’il est exécuté, ça, c’est absolument certain, quoi.