La Convention exige des États parties qu'ils prennent des mesures efficaces en vue d'abolir les pratiques sociales préjudiciables à la santé des enfants.
Les objectifs et stratégies de ce Sommet sont effectivement de grandes lignes utiles pour l'élaboration d'un cadre international propice au bien-être de l'enfant.
Une délégation a demandé que l'UNICEF joue un rôle plus actif pour promouvoir des interventions destinées à améliorer la santé des enfants en Jamaïque.
Il est également préoccupé par la dégradation de l'état de santé des enfants, imputable essentiellement à la pénurie de vivres, de médicaments et d'eau potable.
Des renseignements et un soutien destinés à favoriser un développement sain de l'enfant sont fournis au moment de la naissance et durant les premières années de vie.
La protection de la santé de l'enfant commence très tôt par l'information médicale de ses parents (examen médical prénuptial obligatoire prévu par la loi du 19 décembre 1972).
L'article 6 8) proscrit toutes les pratiques sociales ou coutumières préjudiciables à la santé de l'enfant, notamment les mariages précoces, qui sont courants dans la plupart des milieux traditionnels.
Ils dénonçaient des conditions de travail très difficiles, une « inaction politique irresponsable » qui entrainait la mise en danger de la santé des enfants.