La motorisation croissante entraîne des problèmes d'embouteillage et de pollution atmosphérique, au point d'affecter gravement les fonctions économiques et sociales des villes.
Les embouteillages provoqués par les touristes peuvent avoir de graves répercussions sur la qualité de vie des communautés et nécessitent des mesures de gestion efficaces.
Le casse-tête de la circulation routière est bien loin en dépit des travaux de mise à niveau qui rétrécissent, de temps à autres, les voies de circulation.
En outre, de nombreux États ont indiqué que l'évolution des modes de vie a entraîné une saturation des routes qui n'étaient pas prévues pour un trafic aussi dense.
La multiplication du nombre de véhicules et l'augmentation de leurs émissions dans les villes ont provoqué une aggravation des encombrements et une baisse de la qualité de l'air.
Les villes devraient également être équipées de systèmes modernes de gestion de la circulation automobile afin de réduire les embouteillages, qui sont responsables des émissions les plus élevées.
Le métro est pratique, ils relient tous les endroits et ils n’ont pas de problèmes d’embouteillage, mais dans le métro aux heures de point on a beaucoup de monde.
Cette situation entraîne une aggravation de la circulation et des conditions environnementales, des embouteillages, une augmentation de la consommation d'essence et un accroissement du nombre d'accidents de la route.
L'État partie doit allouer des ressources qui permettent de réduire et, à terme, d'éliminer le véritable engorgement que connaît l'appareil judiciaire et prendre des mesures pour éviter qu'un tel phénomène se reproduise.