M. Marshella a décrit l'expérience des investisseurs dans la dette, en premier lieu les investisseurs institutionnels des États-Unis en emprunts et obligations.
Le fait de tenir le représentant de l'insolvabilité personnellement responsable aurait l'avantage de rassurer les fournisseurs du débiteur et d'empêcher l'endettement.
Selon les calculs du Vérificateur général, le Gouvernement guamien ne pourra pas emprunter plus de 155,2 millions de dollars sur le marché obligataire.
Tandis que ces réserves demeurent presque inactives, les pays en développement empruntent à des taux d'intérêt très élevés pour financer leur propre développement.
De même, les ménages pauvres pourront être contraints d'utiliser leurs économies, de s'endetter ou de vendre leurs moyens de production, aggravant une pauvreté chronique.
Pour qu'il y ait transparence des marchés financiers, il importe de se pencher sur la question des transferts illégaux de fonds et du blanchiment d'argent.
L'argument de l'accès aux ressources externes serait encore pertinent si les pays étaient en mesure de remonter jusqu'au détenteur final de leur obligation pour déterminer sa résidence.
La plupart des projets financés par l'emprunt dans des marchés naissants sont libellés en monnaie locale et subissaient donc le contrecoup des fluctuations monétaires et des dévaluations.