L'origine du mot est obscure, elle pourrait venir de bedaine, de l'ancien français boudine, signifiant « gros ventre » ou bien alors du radical bod- qui indique quelque chose d'enflé.
En effet, bien qu'étant les témoins des conséquences des traitements inhumains infligés aux détenus - blessures, mains tuméfiées, traces de violence - ils gardent le silence et agissent comme s'ils ignoraient que la torture était pratiquée.