Des discussions entamées avec Emmanuel Macron mardi dernier qui provoquent la fureur de Jean-Luc Mélenchon, les insoumis continuant, eux, de boycotter les invitations de l'exécutif.
Il s'attaque en priorité au problème de la corruption dans l'administration en décrétant purement et simplement la peine de mort pour tout fonctionnaire qui détournerait de l'argent public.
Les députés ont voté contre l'avis de l'exécutif pour accorder un crédit d'impôt aux personnes hébergeant gratuitement des réfugiés résidant en France depuis au moins un an.
Le président qui se plaint régulièrement de ne pas avoir une justice aux ordres de l'exécutif n'a jamais atteint un tel degré de violence dans ses récriminations...
Il y a une instrumentalisation politique qui consiste à faire croire que la situation dans Paris, comme dans bien d'autres villes, est de la responsabilité de l'exécutif parisien.
Une motion de soutien à l'exécutif a été approuvée à une écrasante majorité de 235 voix (la majorité absolue étant atteinte à 153) et seulement 70 votes contre.