Tel de ses proches fournissait des preuves de sa dureté, tel inconnu citait un trait (touchant, car il avait été évidemment destiné à rester caché) de sa sensibilité profonde.
En cas de cyberharcèlement, il est conseillé de ne pas répondre, de conserver les preuves et de porter plainte, car c'est un délit passible de 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende.