Si nous voulons être dans le respect de l'accord de Paris, il nous faudra l'année prochaine, rehausser nos engagements en matière de réduction d'émissions.
C'est une nouveauté aussi du rapport par rapport au précédent, c'est de regarder de façon plus importante ce qui touche à la demande, aux réductions d'émissions liées à la demande.
Dans la levée des barrières à la réduction des émissions, il y a certainement des choses très urgentes à faire notamment dans le domaine de la finance et du financement.
L'emploi du mot décolle en France en 2022, alors que la guerre éclate en Ukraine et que le gouvernement présente un plan de sobriété énergétique à laquelle il appelle les citoyens.
Les Etats-Unis, qui sont le deuxième plus grand pollueur de la planète derrière la Chine, laissent entendre qu'il n'y aura pas d'objectifs de réduction " juridiquement contraignants" comme cela avait été le cas à Kyoto en 1997.