Des lois contre la diffamation étaient nécessaires pour garantir que les médias jouissent de leurs libertés de façon responsable, pondérée et équitable.
L'emprisonnement n'est plus considéré comme une sanction adaptée à la diffamation qui, en fait, n'est elle-même plus considérée comme relevant du droit pénal.
Cet amendement abolit les peines d'emprisonnement applicables en cas de condamnation pour diffamation criminelle mais maintient des amendes de 250 à 2 500 dollars.
5 Le Comité passe immédiatement à l'examen, quant au fond, de la plainte relative aux poursuites engagées pour diffamation et à l'allégation de discrimination.