Il reste nécessaire d'apporter un plus grand nombre de modifications à la manière dont les analyses sont présentées et communiquées aux représentants des gouvernements.
En réponse, la France a soutenu que l'obligation de collaborer à l'administration incombait aux parties et que la Norvège ne pouvait se contenter d'alléguer que ses tribunaux étaient impartiaux.
Elles reconnaissent en revanche que cette demande a bien été présentée dans le délai de 10 ans prévu au paragraphe 5 du même article, à savoir une journée avant l'expiration de ce délai.
Les Parties discutent enfin de la question de savoir si la demande en révision a bien été formée dans le délai de six mois fixé au paragraphe 4 de l'Article 61 du Statut.
En effet, selon le Honduras, « les éléments présentés par El Salvador sur ce sujet sont sans rapport avec la détermination des faits sur laquelle repose la décision » prise alors par la Chambre.
On a aussi suggéré que les recommandations précisent que les créanciers pouvaient contester le plan (en saisissant le tribunal) même si celui-ci avait l'appui de la majorité dans la catégorie à laquelle ils appartenaient.
Ces avocats ont reçu des menaces de mort et, au début de l'affaire, ils n'ont pas pu avoir accès à des copies du dossier, ce qui les a empêchés de présenter des preuves à décharge.