Le deuxième a été «traité comme un menteur» par les autorités de l'État partie, ce qui constitue une atteinte à sa dignité et à son intégrité personnelle.
La sanction qui consiste à interdire l'exercice de leur profession aux journalistes qui ont menti au sujet de leur collaboration est une violation manifeste de la liberté d'expression.
S'ils le font d'une manière professionnelle et dans la légalité, et sans mauvaise intention, les mensonges des menteurs seront exposés devant l'opinion publique, et l'objectif déclaré du Conseil de sécurité sera atteint.
Ces partenariats se fondent sur la conviction que le monde ne sera sûr que si les repaires terroristes ne sont découverts et détruits et que si les partisans des terroristes sont traduits en justice.