La MINUSIL a continué de donner aux enfants la possibilité de se faire entendre grâce à une émission radiophonique régulière intitulée « La voix des enfants ».
Ceux qui mentionnent des pratiques constituant des actes de torture comportent une explication selon laquelle ce traitement était réservé aux cas de « bombes à retardement ».
Le roulage reprit aux neuf étages, on n’entendit plus que les appels réguliers des galibots et que l’ébrouement des herscheuses arrivant au plan, fumantes comme des juments trop chargées.