Revue de presse internationale et des hebdomadaires français
C'est ainsi que l'envoyée spéciale de Mediapart s'est rendue à Idlib, qui pendant sept ans a vécu sous le régime des islamistes de Hayat Tahrir al-Cham, désormais au pouvoir à Damas.
Et la Russie aussi, trouve que la présence de représentants des groupes rebelles armés Jaich al-Islam et Ahrar al-Cham, dans les négociations à Genève, leur présence doit se faire à certaines conditions.
Aujourd'hui, Hayat Tahrir al-Cham, le groupe islamiste qu'il dirige, n'a qu'un objectif, dit-il, libérer, avec d'autres factions rebelles, la Syrie du régime de Bachar el-Assad.
Pour cela, « nous avons le droit d'utiliser tous les moyens nécessaires » , déclare le chef du groupe, Hayat Tahrir al-Cham, qui rassemble ces rebelles.
A Mouadamiyat al-Cham, une banlieue au sud-ouest de Damas, des combats jeudi après-midi ont fait voler en éclats la trêve conclue la veille entre le régime et le comité local de la ville, assiégée depuis un an.
Des réactions à l'international, notamment l'Union européenne, qui appelle à une « transition pacifique et ordonnée » en Syrie, indiquant ne pas être, à ce stade, en contact avec le HTS – Hayat Tahrir al-Cham –, un groupe rebelle islamiste.
Le chef de Hayat Tahrir al-Cham, dont la tête a été mise à prix 10 millions de dollars par les États-Unis, affirme avoir évolué et vouloir bâtir, aujourd'hui, une nouvelle Syrie, qui permettrait à tous les réfugiés de rentrer chez eux.