Le Chili le réclame depuis 2013 pour son implication, sa participation aux actes de torture subis par Victor Jara et d'autres citoyens chiliens et de leurs meurtres extrajudiciaires en dehors de toute légalité.
Les motifs mis en avant: " le souci de préserver l'intégrité physique du président et de sa famille, d'éviter une confrontation meurtrière" et " de préserver la cohésion au sein des forces de défense et de sécurité" .