Par ailleurs, le fait que j'ai reporté l'élection jusqu'à aujourd'hui vous a donné le temps de vous consulter entre vous et de consulter vos capitales.
Je vais les examiner de manière très attentive et consulter mes autorités, en particulier s'agissant de la première question relative à la résolution du Conseil de sécurité.
Les consultations que j'ai menées depuis ont montré, ce qui n'est pas surprenant, que plusieurs délégations devront demander de nouvelles instructions à leur gouvernement et prendre une décision.
Par ailleurs, il est difficile de justifier la présentation d'un dossier a posteriori quand les besoins pouvaient être prévus longtemps à l'avance, comme pour le renouvellement d'un bail.
Avec tout le respect que je vous dois, Monsieur le Président, nous allons devoir consulter nos capitales pour savoir comment nous devons réagir à ce type de processus.
Il disposera de toute la marge de manœuvre nécessaire dans l'accomplissement de ses tâches, mais sera tenu de revenir vers le Secrétaire général à toutes les étapes du processus.
Pour ma délégation, nous n'en avons pas vraiment besoin, puisque tout était ad referendum, c'est-à-dire que chacun a dû consulter sa capitale pour obtenir l'approbation finale pour tout cela.
Nous espérons que l'on ne se précipitera pas pour adopter la déclaration présidentielle, car nous attendons, dans notre cas, des instructions de nos autorités avant de pouvoir arrêter une décision.
Telles étant mes instructions pour le moment, je dois en solliciter de nouvelles auprès de ma capitale concernant les trois propositions que vous avez faites et à celle formulée par l'Égypte.
Peut-être que le retard, dû à notre décision de permettre à une ou deux délégations de recevoir des instructions de leurs capitales, impliquait que nous n'étions pas parvenus à un consensus.
Mme Shestack (États-Unis d'Amérique) déclare qu'elle n'est pas prête à se prononcer sur cette question et appuie la proposition de l'Union européenne, qui permettrait aux délégations de demander des instructions à leur capitale.
Il trouva Charles en conférence avec le joaillier auquel il avait commandé des bijoux pour la corbeille de mademoiselle d’Aubrion, et qui lui en montrait les dessins.
Voilà qui est entendu. Je partirai demain en poste, dit à haute voix des Grassins, et je viendrai prendre vos dernières instructions à… à quelle heure ?
Il n'y en a pas beaucoup qui vous auraient permis d'engager un loup-garou comme professeur ou de garder Hagrid, ou encore de fixer le programme scolaire sans en référer au ministère.
Vasiliev interrogea le centre de contrôle et, avec un décalage d'une quarantaine de minutes, il reçut l'ordre de continuer à réduire sa distance avec la cible jusqu'à cent cinquante kilomètres.
Cette proposition d'envoyer les deux responsables de la mission d'exploration approcher le post-it suscita des remous, et ils durent attendre quarante minutes pour que le centre de contrôle leur remette ses instructions.
Dans le but de mieux mettre à profit tes compétences au sein de la base de Côte Rouge, l'ingénieur en chef Yang a adressé à plusieurs reprises à nos supérieurs une requête te concernant.
Mais après que le jeune officier avait eu confirmé l’identité de la cible, il n’avait pas eu le courage de prendre lui-même cette décision et il s’en était remis à sa hiérarchie. Pendant ce temps, la cible avait disparu.