Les données sur la toxicité environnementale du SPFO concernent essentiellement les organismes aquatiques, comme les poissons, les invertébrés et les algues.
Il s'agit notamment de la production d'aliments et de la fourniture d'habitats aux invertébrés aquatiques, aux poissons, à l'endofaune et aux végétaux benthiques.
Souvent, les médecins ne peuvent diagnostiquer cette maladie parce qu'ils ne sont pas en mesure de prélever l'échantillon de liquide céphalo-rachidien à analyser.