L’un d’eux, Falcoz, homme d’esprit et de cœur, marchand de papiers à Verrières, avait acheté une imprimerie dans le chef-lieu du département, et entrepris un journal.
Fille d’un homme d’esprit qui pouvait devenir ministre, et rendre ses bois au clergé, Mlle de La Mole avait été, au couvent du Sacré-Cœur, l’objet des flatteries les plus excessives.