233. le Gouvernement s'efforce continuellement d'aider les «femmes de réconfort», victimisées sous l'occupation japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les autorités japonaises devraient reconnaître leur responsabilité dans la question des « femmes de réconfort » et s'acquitter de leurs obligations en conséquence.
Le Gouvernement du Japon continuera à soutenir énergiquement les activités du Fonds pour les femmes d'Asie qui s'intéresse au bien-être de ces dernières.
Les pouvoirs publics leur accordent des droits prioritaires en matière d'accès aux baux à long terme, de protection médicale et d'aide à la subsistance.
Les témoignages de "femmes de réconfort" vivant dans les deux Corées, aux Philippines, en Indonésie, au Timor oriental, en Chine et aux Pays-Bas ont été réunis et, enfin, consignés.
Toutefois, prétendre que 200 000 Coréennes et femmes d'autres pays d'Asie ont été contraintes de devenir des femmes de réconfort est totalement dénué de fondement.
Il a également refusé la venue de la délégation coréenne, invitée à prendre part aux réunions organisées sur cette question par des organisations non gouvernementales.
De ce fait, les problèmes nés de la seconde guerre mondiale, notamment le problème des “femmes de réconfort”, ont été résolus avec les parties à ces traités.
Le représentant en question a critiqué la modification des manuels d'histoire au Japon et la présentation déformée de la question des «femmes de réconfort» dans les nouveaux manuels.
C’est le début d’un intense bras de fer entre les anciennes esclaves des maisons de confort et un état japonais qui refuse d’assumer ses responsabilités.
Pour restaurer la discipline et préserver ses troupes, l’état-major décide alors de développer un réseau de bordels militaires de campagne appelés les « stations de confort » .
Les Etats-Unis demandent à ces deux plus grands allies dans la région de résoudre leur différend à propos des " femmes de réconfort" le plus vite possible.
Mais l’un des éléments notables dans cette histoire, c’est bien sûr la dénomination dont usaient les Japonais pour désigner ces prostituées de force : des femmes de réconfort.
Le 25 janvier, lors d'une conférence de presse, Katsuto Momii avait tenu des propos faux en indiquant que « le problème des femmes de réconfort existe dans tous les pays » .