Les unités en question avaient été créées notamment pour protéger les touristes des petits délinquants, des vendeurs trop insistants et des "faux guides" agressifs.
Les nouveaux cas qui ont été transmis concernent une femme, un journaliste, un travailleur agricole, un marchand ambulant et un cachemiri résidant à Katmandou.
Finalement je comprends que tous ces vendeuses, comme certains pousse-pousse, et les soi-disant guides s’accrochent aux Vazha car nous sommes les seuls à craquer et à donner.
Nombre d'entre eux travaillent dans l'économie parallèle et exercent des activités mal rémunérées, peu productives et souvent dangereuses, telles que la récupération des déchets et la vente ambulante.
La lutte contre le travail des enfants, longtemps axée sur le travail des enfants dans les plantations de cacao, avait en fait négligé les cas urbains (vendeurs et domestiques).
Des représentants autochtones ont dit que les jeunes prenaient des emplois en tant que gardiens, vigiles, ouvriers du bâtiment, marchands, colporteurs et comme travailleurs contractuels dans les zones franches industrielles.
Elles varient de la création d'une petite épicerie de détail à la vente de bijoux, la broderie, le prêt d'argent, les démarchages, des activités de pêche et la location de maison.