Les fonctionnaires des Nations Unies et d'autres organisations internationales ont essentiellement été victimes de menus larcins et de tentatives d'introduction par effraction dans les maisons.
Plutôt que d'autoriser l'usage de la force dans l'intention de tuer uniquement pour protéger la vie, ces règles autorisent à commettre des meurtres délibérés, même pour empêcher que des petits voleurs ne récidivent.
Au cours de la période considérée, on a signalé 13 affaires disciplinaires graves, dont neuf allégations d'exploitation et d'abus sexuels, ainsi que 122 affaires mineures, impliquant des membres du personnel de la MINUL.