Il fondait des hôpitaux, ouvrait des écoles, visitait les malades, dotait les filles, soutenait les veuves, adoptait les orphelins ; il était comme le tuteur du pays.
Comme ce bracelet issu d’une dot comorienne, les bijoux exposés dans ce parcours sur l’or donnent à lire des histoires de familles corses, algériennes, italiennes.
Jusqu'au jour de son mariage elle rêva d'un règne de légende bien que son père, don Fernando, dût hypothéquer la maison pour lui acheter son trousseau.
Ursula n'emporta guère qu'une malle avec son trousseau de jeune mariée, quelques ustensiles domestiques et le petit coffret renfermant les pièces d'or qu'elle avait héritées de son père.
Elle débute sa carrière de couturière en 1903 dans un atelier qui confectionne des trousseaux et des layettes, autrement dit des vêtements pour les bébés, les nourrissons, les nouveau-nés.