Les cas graves de paludisme doivent initialement être traités à l'aide d'artémisinine parentérales ou de quinine, suivis par un cycle complet d'une polythérapie à base d'artémisinine.
Puisqu'on lui a dit que le paludisme ne pouvait être guéri que par la quinine administrée en intraveineuse, il demande au docteur de lui administrer de la quinine.
L’écorce de saule, en effet, a été justement considérée comme un succédané du quinquina, aussi bien que le marronnier de l’Inde, la feuille de houx, la serpentaire, etc.
Une écorce vendue à bas prix, qui contiendrait la quinine avec laquelle est fabriquée la fameuse chloroquine, cette molécule dont l’efficacité contre le virus alimente la controverse scientifique.
Il fallait évidemment essayer de cette substance, bien qu’elle ne valût pas le quinquina, et l’employer à l’état naturel, puisque les moyens manquaient pour en extraire l’alcaloïde, c’est-à-dire le salicine.