Il faut savoir qu’aujourd’hui, le Canada détient les troisièmes réserves mondiales de pétrole, lourd et conventionnel confondus, soit 174 milliards de barils.
Je savais qu'il existait à bord trois barils de poudre, mais j'ignorais où notre canonnier les avait rangés ; enfin je les trouvai après une longue perquisition.
A 200$ le baril, contre moins de 73 hier, ça provoquerait une catastrophe économique mondiale ; le projet de budget français, par exemple, n'y résisterait pas.
Ce qui veut dire qu’en 2030, la production totale de pétrole, c’est-à-dire conventionnelle et non conventionnelle, pourrait atteindre 5 millions de barils jour soit plus que la production actuelle de l’Iran.
Il n'en fallait pas plus pour que les marchés financiers soient rassurés et que le baril de brut, déjà affecté par la baisse de la demande chinoise, ne baisse de quelques dollars.
J'examinai le baril qui était sur la grève, je reconnus qu'il contenait de la poudre à canon, mais qu'il avait pris l'eau et que cette poudre ne formait plus qu'une masse aussi dure qu'une pierre.