Afin d'apaiser les craintes de certains investisseurs, les pays pourraient envisager d'instaurer une amnistie temporaire sur le rapatriement des capitaux.
La solution réside dans une mobilisation réussie des capitaux internes qui permettraient d'améliorer l'accès aux ressources financières de tous les foyers.
Les forces extérieures du marché mondial conditionnent dans une grande mesure les flux d'investissements étrangers directs et d'autres types de capital financier.
Les apports de capitaux à long terme soutenus, comme l'investissement direct étranger (IED) et les transferts de technologie connexes, sont devenus particulièrement cruciaux.
La libéralisation financière devait faire tomber les barrières qui séparaient les pays et susciter un afflux de capitaux des pays riches vers les pays pauvres.
De même, la mobilité croissante des capitaux, conjuguée à des taux de chômage élevés, a affaibli la position de négociation des travailleurs face aux employeurs.
La construction d'infrastructures permet de développer les marchés de capitaux à long terme, et d'élargir le portefeuille de projets intéressant les investisseurs nationaux et étrangers.