On trouvera récapitulés ci-dessous les principaux faits nouveaux intervenus concernant ces annexes (voir également les paragraphes 118 et 215 du présent rapport).
Les informations de l'Organisation maritime internationale concernant la réduction de la pollution atmosphérique causée par les navires seront présentées dans l'additif au présent rapport.
Par ailleurs, l'OMI élaborera des mesures internationales visant à réduire autant que possible la translocation d'espèces aquatiques envahissantes résultant des biosalissures produites par les navires.
Il faut prendre des décisions pour éviter les menaces de pollution provenant de déchets produits par des bateaux ou du rejet accidentel de substances toxiques et dangereuses.
Les navires seront tenus de disposer à bord d'un plan de réaction d'urgence à la pollution pour faire face aux incidents impliquant des substances dangereuses et nocives.
Le HCR collabore avec l'Organisation maritime internationale (OMI), qui est responsable de la sécurité du transport maritime et de la prévention de la pollution marine causée par les navires.
Elle a également indiqué avoir fait part de ses préoccupations au sujet des restrictions juridiques internationales relatives à la juridiction des États côtiers sur la pollution par les navires.
Aux termes de l'annexe VI de la Convention (prévention de la pollution de l'atmosphère par les navires), il est possible d'établir des « zones de contrôle des émissions d'oxyde de soufre ».
Ce centre vise à renforcer la capacité des États côtiers de la Méditerranée à empêcher la pollution par les navires et assurer l'application effective des règles généralement reconnues à l'échelle internationale.
Nous savons bien que les ressources vivantes des océans et des mers sont menacées non seulement par la surexploitation, mais aussi par la pollution provenant de sources terrestres et de navires.
Les principales sources de pollution dues aux navires ne sont pas les accidents, même si ceux-ci peuvent affecter considérablement le milieu marin, mais plutôt les opérations de routine et les rejets illégaux.
Un système est nécessaire pour gérer et contrôler la pollution des océans due aux navires et la pollution marine d'origine tellurique, qui doit aller de pair avec des instruments et des informations.
Ils participent en outre activement à la Convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires et aux programmes pour les mers régionales du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE).
Les problèmes de l'environnement marin sont exacerbés par les répercussions des activités terrestres, en particulier les égouts, et par les conséquences de l'immersion de déchets et de la pollution provoquée par les navires.