Sur le palier où la peste se maintint en effet à partir du mois d'août, l'accumulation des victimes surpassa de beaucoup les possibilités que pouvait offrir notre petit cimetière.
Comme ces premières chaleurs coïncidèrent avec un accroissement en flèche du nombre des victimes, qui se chiffra à près de sept cents par semaine, une sorte d'abattement s'empara de la ville.
Le deuil s'accompagne de polémiques, notamment sur la diffusion d'images et de vidéos de personnes défuntes, « ce qui devrait être interdit » , souligne dans son éditorial du 31 octobre le quotidien conservateur JoongAng.