La famille Perret tient le "Café du pont" où, chaque jour, les ouvriers et les mariniers du coin viennent écluser des verres de blanc ou de rouge en attendant des jours meilleurs.
Perret一家经营着一个名叫"Café du pont"的咖馆,每天,附近的工人和船员来喝一杯干白或者红酒,憧憬着美好日子的到来。
L'un des deux mariniers qui était né sur la rive droite du Pô, et par conséquent n'avait pas besoin de passeport à l'étranger pour aller à Parme, se chargea de porter les lettres.
Un soir donc il détacha une barchetta de l’anneau de fer qui la scellait au port de Livourne, se coucha au fond dans son manteau, en disant aux mariniers ces seules paroles : « À l’île d’Elbe ! »
Franz laissa l’opération s’achever, et quand on eut pris la nouvelle route, quand la voile se fut gonflée par la brise, et que les quatre mariniers eurent repris leurs places, trois à l’avant, un au gouvernail, il renoua la conversation.