Tout commence en 2011. lorsqu’il récupère un fichier médical sur lequel près de cinq mille athlètes présenteraient des valeurs sanguines hautement suspectes.
En 2016, le texte est modifié, et réintroduit la possibilité, pour les chefs d’établissements pénitentiaires, de rétablir des fouilles quasi systématiques, sous certaines conditions.
Il comprit après coup que la carte s'affichait en fait sur un immense écran à cristaux liquides, et qu'un ordinateur permettait de zoomer et de rechercher un astre en particulier.
Je le répète : quel que soit l'endroit où l'on met une information sur Internet, cette dernière est stockée quelque part, et sans régulation elle peut être récupérée et réutilisée sans le consentement de la personne.