C’est cet accent qui, aux moments où, dans ses livres, Bergotte était entièrement naturel, rythmait les mots souvent alors fort insignifiants qu’il écrivait.
Passant inaperçu à cause de son peu d’importance, Julien s’approcha successivement de plusieurs groupes ; il suivait de loin le baron Bâton, et voulait l’entendre.