Dans l'océan d'un football business mondialisé, sans scrupules et souvent sectaire, le club, dont l'emblème est une tête de mort, est un bateau pirate.
Malheureusement, les dirigeants irakiens n'ont pas été capables de surmonter la méfiance et les divisions sectaires qui sont enracinées là-bas depuis long temps.
La violence demeure courante en Irak malgré une baisse importante observée depuis 2006-2007, alors que le pays était engouffré dans des conflits sectaires.