Selon certains chercheurs, la plupart des femmes accusées d'être des sorcières sont indépendantes sur le plan économique ou vivent sans partenaire masculin.
L'accusation de sorcellerie touche à la fois des hommes et des femmes, mais il ressort des statistiques que les femmes sont deux fois plus nombreuses à en faire l'objet.
Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté et comme possédé par le démon de mon coeur.
Bien que la loi sur la lutte contre la sorcellerie soit censée protéger les personnes accusées de sorcellerie, nombreux sont les auteurs d'actes de violence contre les «sorcières» qui ne sont pas poursuivis.