Internet pouvait considérablement améliorer la situation en facilitant l'accès des PME de pays en développement aux informations sur la solvabilité, et donc aux notations.
Même dans le secteur financier traditionnel, la mauvaise qualité de l'information avait pour effet d'amplifier les risques réels de crédit pour les PME de pays en développement.
Les négociants de pays développés avaient du mal à accorder un crédit commercial aux négociants de pays en développement s'ils ne disposaient pas d'informations sur la solvabilité de ces derniers.
À la faveur d'une plus grande transparence, les PME pourraient figurer dans des bases de données en ligne contenant des informations sur la solvabilité et des notations, et financer ainsi plus facilement leurs échanges.