Les descriptions faites par les dirigeants des nations les plus vulnérables, en particulier les petits États insulaires en développement, sont particulièrement parlantes.
De nombreux États ont à l'évidence davantage ressenti le caractère pénible de l'obligation de présenter des rapports que l'intérêt qu'ils avaient à s'en acquitter.
Il s'agit là à n'en pas douter d'une illustration significative de l'interaction positive entre l'ONU et les organisations régionales pour laquelle nous militons ardemment.
Il ne s'agit pas uniquement de manifestations passagères de sentimentalisme ou de proximité entre les hommes, mais d'un phénomène durable, avec d'immenses conséquences à long terme.
Qu'il me soit permis de rappeler que les citoyens du monde entier nous observent et qu'ils souhaitent ardemment vivre dans un environnement international plus sûr.
J'ai parfaitement conscience que les pressions qui s'exercent en faveur de progrès dans la voie de l'objectif ultime qu'est le désarmement nucléaire ne cesseront pas.
Maintenant que le monde est devenu ce qu'il est convenu d'appeler un « village global », ce qui est vrai à l'intérieur des frontières l'est tout autant au-delà.
Dans la galerie d’Apollon, le parquet surtout émerveilla la société, un parquet luisant, clair comme un miroir, où les pieds des banquettes se reflétaient.
Poisson, qui avait voyagé sur mer, dodelinait de la tête pour approuver les détails. On sentait bien, d’ailleurs, que cette chanson-là était dans le sentiment de madame Putois.
Au bord de la mer c’est encore plus frappant, parce qu’il y a les réponses faibles des vagues que naturellement on entend très bien puisque le reste ne peut pas remuer.