Le nombre d'enfants dénutris et trop maigres et la prévalence de l'anémie parmi les enfants et les femmes enceintes étaient déjà inquiétants avant les opérations militaires.
Par contre, le nombre d'enfants présentant une insuffisance pondérale était passé de 9,5 à 13,4 % et le nombre de ceux qui souffrent de dénutrition (cachexie, athrepsie) avait augmenté de 1,8 à 4,1 %.