Cette omission a pu accréditer l'idée qu'il fallait sacrifier les droits et libertés fondamentaux pour remporter la lutte mondiale contre le terrorisme.
Les réformes s'inscrivant dans un contexte en constante évolution, tout rapport sur la question comporte forcément des omissions ou des éléments qui datent.
La Commission porte cette année une responsabilité particulière pour compenser, dans la mesure du possible, l'omission du désarmement dans le document final du Sommet.