En Méditerranée septentrionale, les informations sur l'exploitation des terres des parcours découlent de divers projets de recherche exécutés dans la région.
Plusieurs familles d'animaux (insectes, oiseaux, etc.) vont et viennent entre le compartiment forestier « naturel » et le compartiment agricole et pastoral « cultivé ».
De même, une meilleure intégration de l'exploitation des terres pastorales et agricoles offre un moyen compatible avec un environnement durable d'éviter la désertification.
La plupart de ces émissions sont dues aux mauvaises pratiques agro-industrielles dans les domaines de la gestion des terres agricoles et des pâturages.
De même, on dispose d'éléments d'information attestant l'utilisation de bonnes pratiques de gestion des parcours et des forêts claires, adaptées aux conditions locales.
Le paiement des services fournis par les écosystèmes peut constituer un moyen intéressant d'encourager l'utilisation et l'aménagement durable des terres arables et des pâturages.
Les espèces adaptées aux conditions locales peuvent, dans les systèmes de production marginale, contribuer à la dispersion des graines et à la préservation des écosystèmes des pâturages.
Il est de plus en plus difficile pour les collectivités palestiniennes situées à l'est de la barrière d'atteindre leurs terres agricoles et leurs pâturages dans les zones fermées.
Les difficultés majeures rencontrées par les Koutchis ont trait à l'accès aux pâturages, aux services de base tels que les soins de santé, à l'éducation et à l'emploi.
La plupart des Parties (voir le tableau 25) prévoient une diminution de la production animale du fait soit du déclin des pâturages, soit d'une réduction de la productivité des pâturages existants.
Les zones où les forêts ou les terres de parcours ont été remplacées par des terres agricoles ou ont été urbanisées seront considérées comme les points chauds pour cet indicateur.
Nous avons nettoyé plus de 170 corridors et de ports pour le commerce frontalier et rendu à leur usage plus de 60 000 hectares de terres agricoles, de pâtures et de forêts.
Les terres cultivées occupent environ 1,4 milliard d'hectares, tandis que les pâturages, les terres en jachère, la sylviculture et les activités de chasse et de cueillette occupent pour leur part 7,4 milliards d'hectares.
En ce qui concerne les terres de parcours, les efforts consentis pour améliorer la productivité par l'adoption et la mise en œuvre de techniques de gestion adaptées ont donné des résultats mitigés.
Ce sont également les terrains réhabilités qui ont fourni de nouveaux pâturages aux nomades de Nouhadibou, de Zourate et de Bir Mougrien et permis d'étendre les limites de la ville de Nouhadibou.
En Asie, de nombreux pays indiquent disposer de vastes zones de parcours où les communautés appliquent des systèmes traditionnels d'élevage, en faisant davantage référence à la législation foncière coutumière qu'au droit moderne.